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Pour reprendre la célèbre citation de Peter Drucker « Le meilleur moyen de prévoir le futur, c’est de le créer ! ».

La création d’entreprise en France, nécessite de rentrer dans les méandres des mécanismes juridiques, fiscaux et sociaux. Afin d’appréhender au mieux les possibilités qui s’offrent au créateur et d’optimiser les dispositifs, le porteur de projet doit faire une analyse préalable pour déterminer le mode d’exercice idoine et protecteur qui lui permettra d’exercer son activité dans les meilleures conditions. Aussi est-il important de se poser les bonnes questions :

1. L’activité que je souhaite exercer est-elle une activité risquée ?

Le niveau de risque va s’apprécier en fonction du montant de l’investissement, de la valeur des stocks, de la saisonnalité du chiffre d’affaires, ou encore de l’embauche de salariés dès la création, etc… La prévision de déficits dans les premières années d’activité est également un critère d’appréciation du risque.

2.Vais-je exercer mon activité seul(e) ou avec des partenaires ?

La question sous-jacente est de savoir si vous allez avoir des associés et comment vont se partager le pouvoir et les bénéfices. Si les associés sont tous membres d’une même famille, des dispositifs fiscaux spécifiques peuvent être mis en œuvre dans certains cas particuliers.

3. Quel niveau de protection je souhaite avoir en termes de patrimoine personnel et familial, maladie, retraite,… ?

Le niveau de protection peut être une priorité pour le dirigeant selon ses antécédents médicaux ou sa charge de famille par exemple.

4. Quels sont les revenus de mon foyer fiscal et la tranche marginale d’imposition ?

Une réflexion sur la situation du foyer fiscal de la famille peut amener à déterminer certaines options fiscales spécifiques au niveau de la société.

5. Ma clientèle sera-t-elle une clientèle de particuliers ou de professionnels ?

Selon le niveau de chiffre d’affaires, il pourra être intéressant d’opter ou non à la TVA.

Cette réflexion en amont est une étape indispensable pour choisir son statut.

Une fois ces réflexions préalables menées, deux grandes catégories qui se déclinent en sous catégories s’offrent à vous :

Les formes Individuelles :

  • l’entreprise individuelle
  • la micro entreprise ;

Les formes sociétaires

  • la SARL, qui peut s’exercer seule (on parlera de SARL à associé unique ou d’EURL) ou à plusieurs, qui peut aussi s’exercer avec les membres d’une même famille et opter pour le régime des SARL de famille ;
  • la SAS qui peut s’exercer seule (on parlera de SASU) ou à plusieurs.
  • Pour les professions libérales, nous aurons des sociétés spécifiques de type SCP, SELARL, SELAS.

Les conséquences en matière de protection de la famille, en matière fiscale, en matière de répartition de pouvoirs vont être différentes selon le statut choisi. Pour pallier cette complexité et faire le meilleur choix, nous vous conseillons de préparer vos 5 questions clés et de vous rapprocher d’un professionnel. L’expert-comptable sera en la matière votre meilleur interlocuteur. N’hésitez pas à prendre contact avec nos équipes sur les cabinets de Bègles et du Bassin d’Arcachon pour vous accompagner dans ces démarches, vous trouverez toutes nos informations sur notre site internet www.audei.fr ou par téléphone au 05.56.52.28.18.

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